Il reste
Par Kozlika le samedi 3 juillet 2004, 00:02 - Lien permanent
la lenteur
diminueparfois ce sont des murmures
quelques lignes effacées dans l'enveloppe l'eau nous traverse laisse
la première lettre de ton
nom
j'ai du mal à te dire
des mots
il faudrait un corps, il
tombe
de niveau
en niveaune pas se fier à ce jour, les sillons du jour presque beau
il ne fallait pas se fier aux sillons
d'un jour si beau, des silhouettes des images le contour se déplacesans que rien ne bouge
Commentaires
il existe beaucoup de blogs, n'est-ce pas ? Le tien, j'y viens maintenant chaque jour. j'aime l'habillage discret, élégant et apaisant de kimono. et puis aussi le ton et les sujets de tes koseries. Curieuse, Je suis revenue pas à pas jusqu'au début apparent, à la génèse de cet espace et ce matin, hop quoi de neuf : ben tiens, la poésie de ton amie et le lien vers la page de son recueil. je ne connais rien, absolument rien à l'opéra, ni aux blogs d'ailleurs, je découvre.
Alors, comme cela juste merci pour tes mots d'esprit, de sensibilité et d'humeur et tes liens
D'abord, merci à toi. Je suis très touchée de ton mot.
Des blogs, oui, il en existe vraiment beaucoup. Je ne m'y intéressais que de très loin jusqu'à l'ouverture de celui-ci, je découvre petit à petit, je suis étonnée par la diversité qu'ils présentent. Quand ouvres-tu le tien ? ;-)
C'est trop beau !
Je n'ai jamais lu fabienne courtade... mais l'extrait est vraiment superbe... Les mots, légers tombent en pluie et nous inondent... s'infiltrent doucement... Je note et le nom et le titre ! Je viens de tomber par hasard sur ce blog... Je garde l'url ! ;o)