Le 3 janvier 1972, le parlement votait une loi permettant aux femmes mariées de reconnaître leur enfant sous leur propre nom. Auparavant, l'enfant d'une femme mariée était réputé être l'enfant de son mari - et donc porter le patronyme de celui-ci - ou ne pas être reconnu. C'est ainsi que j'ai passé les onze premières années de ma vie sans vrai nom de famille. Enfin je portais le nom de jeune fille de ma mère mais précédé d'un vilain « dite ». « Julie, dite Andrews », ça le fait moins pour jouer dans La mélodie du bonheur.

photomontage anne dans la melodie du bonheur

Tiens, et si finalement on disait que j'ai 33 ans après tout ?