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Par Kozlika le dimanche 12 juin 2005, 22:09 - Lien permanent
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Par Kozlika le dimanche 12 juin 2005, 22:09 - Lien permanent
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Commentaires
Ces photos me laissent une impression étrange.
Ces portraits qui tombent, déjà à demi décrochés, sur la seconde, n'ont pas le goût de victoire, de joie, de liberté retrouvée qu'on attendrait. Plutôt une impression décalée entre la fin et l'oubli.
Oui, Thomas. Je partage ce sentiment.
On dirait qu'on veut cacher quelque chose. comme si on avait honte.
Arrêtez un peu : ça faisait des mois qu'ils rêvaient de les décrocher, ces portraits ! Et si vous étiez Florence Aubenas, vous voudriez voir votre portrait partout maintenant ? Vous n'allez quand même pas être moins rapide qu'elle pour tourner la page ?
Si vous vouliez sentir un peu la liesse qui allaient avec le décrochage, il fallait rejoindre les libations spontanément organisées ici ou là...
Pour ce qui me concerne, je parlais de l'effet produit par la photo. (A part ça, tourner la page n'est pas oublier, mais tu le sais.)
Aaaaaah ! Mais c'est encore plus facile alors : il n'y a qu'à regarder la première maintenant et la seconde dans trois jours.
C'est toujours merveilleux de voir comment, dès qu'on dit ce qu'on ressent, des gens arrivent pour vous expliquer que vous avez tort. La nature humaine ne cessera jamais de me laisser contemplatif.
Thomas: Oui hein... pareil...
Ah désolé, la consensualité m'emmerde.
Par ailleurs, il est bien connu que je suis un gars désagréable.
Xave: Un gars désagrable avec de l'esprit ne doit pas être totalemant désagréable... désolé de quoi... toi aussi tu exprimes tes émotions...:-)
ah ben alors moi,zéro état d'âme sur ce coup-là : si vous saviez comme j'étais heureuse qu'enfin on les décroche et que ce soit parce que ça c'était bien fini (enfin : pour eux au moins), pur soulagement et libération pour nous (du comité de soutien) aussi.