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Par Kozlika le mardi 9 janvier 2007, 08:50 - Lien permanent
Réouverture prochaine d'on va faire un tabac. Pour la Saint Valentin tiens. Des galériens avec moi ?
Mise à jour 10 janvier. Six "inscrits" :
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Commentaires
Allez que diable !!! Un peu de courage, c'est clair que c'est pas facile et que je suis mal plaçé pour faire la morale, mais faut inscrire ça dans nos bonnes résolutions de 2007, un bon coup de piscine pour se motiver (tenir que 15 secondes en apnée, cela fait toujours réfléchir...), une grande bouteille d'eau et une énorme dose de volonté et ça le fait !!!
Houla, grosse merderie dans mon spam filtrage... Vous remettez vos commentaires ? je les passerai en ligne cet aprème.
Je veux bien faire le supporter si besoin, voire même le croque-mitaine pour les ceussent qui voudraient craquer !
"fumer entraîne une mort lente et douloureuse". C'est un euphémisme. Y'a une partie de la famille qui a testé, approuvé le 1er novembre de chaque année (mais apparemment pas assez pour finir de convaincre le paternel, qui se laisse parfois aller... Pourtant, c'est bien lui le plus atteint par les pertes, mon grand-père, je ne m'en souviens même plus)
Sachant qu'il est scientifiquement faisable de fabriquer des cigarettes sans nicotine (qui est le composant qui rend dépendant), je me demande si des cigarettes sans nicotine auraient le même goût ? Si c'était le cas, bien sûr la combustion des cigarettes produiraient toujours autant de goudrons, mais imaginez un peu le plaisir de ne fumer que les "bonnes" clopes : la première de la journée, celle après le repas, celle avec un café... et d'éliminer toutes les autres néfastes que l'on fume par dépendance, sans plaisir !
Ca fait un an et 5 jours que je suis dans ma tentative d'arrêt. J'ai arrété essentiellement pour ne plus être dépendant, plus que pour le prix ou la santé. Et ça me manque toujours cette saloperie !
M'inscrirais bien, moi... Après 30 ans, je peux m'offrir ça, non?
Comment qu'on fait pour galérer de concert?
Bonjour Kozlika : est-ce que tu cherches des coaches qui puissent t'aider tout à fait sérieusement et dans les règles de l'art ? Je veux bien offrir mes services.
Ce n'est pas une aussi mince affaire que le commentaire de Le Poitevin le laisserait à supposer. A preuve le fait que tu aies plusieurs fois essayé, plusieurs fois rechuté.
C'est très bien déjà de fixer une date de démarrage, et aussi de l'annoncer à tout le monde très solennellement.
Je ne suis pas aussi organisée que toi, et ne suis pas sûre de pouvoir rédiger un "Petit Arrêteardefumear Illustré", mais c'est aussi une bonne idée d'avoir un mode d'emploi et de suivre les étapes nécessaires.
Droop : ton raisonnement présente quand même des failles. La raison pour laquelle fumer fait plaisir ne tient pas au fait que c'est bon, mais au fait que les neurostransmetteurs du cerveau sont activés par certaines substances.
L'information est encodée, le sevrage du tabac n'y fait rien, c'est seulement une forme de "déprogrammation" et de restauration des circuits des endorphines qui permettent de surmonter le déficit.
Il existe des tas de techniques différentes, chacun doit pouvoir trouver la sienne.
En fait, les façons de stimuler ces endorphines sont plus difficiles que de simplement s'envoyer un shoot de fumée, parfois moins évidentes à percevoir - et aussi le shoot n'est pas conscient chez le fumeur mais devenu mécanique.
Droop> Ça se fait déjà. Sauf que les clopes à l'eucalyptus, vraiment, c'est pôs bon.
Xave> non non je parle pas des NTB (nique ta bouche) mais de réelles clopes au tabac sans nicotine. (la nicotine et divers produits supplémentaires sont ajoutés artificiellement par les fabricants)
Merci à mon jules d'avoir arrété depuis 3 ans. Parfois ça lui manque mais il tient. La trouille de la maladie je crois....
J'avais arrêté pendant deux ans et demi, j'ai repris.
J'veux bien tenter de m'lancer à nouveau dans cette aventure dénicotinisante.
Droop & Xave > et surtout, ça n'a aucun intérêt, que des inconvénients. La nicotine en soi, toute seule, n'est pas nocive (je sollicite tout de même l'avis d'un médecin sur cette question, j'ai entendu/lu ça à diverses reprises), elle stimule et rend dépendant. Ce sont toutes les cochoncetés dans la fumée de clope (goudrons, amoniaque, poisons divers, mercure, tout ça...)qui sont cancérigènes et blablagènes. Dans les clopes à l'eucalyptus, y a que ça !
Conclusion : autant ne rien fumer ni mâcher, mais à la limite, vaut mieux être accro aux substituts à la nicotine qu'à la clope. Je ne sais pas si on ne risque rien, mais on risque beaucoup moins (et, griotte sur le cake, on ne gène/met en danger personne à part peut-être soi-même)
L'après midi est là, mais je crois que mes commentaires ne passent pas.
Eh mais si, ils sont là Otir. Par contre comme j'y étais allée un peu sauvagement ce matin si l'un ou l'autre de vos commentaires n'est pas en ligne à cette heure vous pouvez le réécrire... désolée.
tiens, je viens de m'y remettre, ça tombe bien !
bon, bin c'est quand tu veux....
Même combat mais avec les kilos, allez on dit, une semaine sans clope pour toi = un kilo en moins pour moi (j'te motive - et moi pour la même occas).
J'en suis, mais ça n'attend pas jusqu'à la St-Valentin...
Dis donc Madame la Fée, sans vouloir te vexer, moi je te préférais avec une tête d'actrice en noir et blanc et fanfreluches qu'avec cette tête de chou, même s'il y a des joulies fleurs autour…
Ah ? Je suis pas dans le sujet ?
Oh pardon…
Ben oui mais alors si je vous dis comment j'ai arrêté de fumer vous direz que j'ai triché !
Nan parceque ça a été après une opération à coeur ouvert et deux mois de rééducation au début desquels j'arrivais même plus à aligner trois mots sans reprendre mon souffle…
Après ça j'avais oublié d'avoir envie.
Mais je me souviens quand même que c'était vachement bon !!! Oh la vache, oui ! La clope avec le thé (oui, j'aime pas le café) et le bon bouquin…
Ouaaaah, la classe !
Bluffé !
À peine je demande, je retrouve le beau visage d'avant à la place de la tête de chou !
Chapeau Madame la Fée…
Par contre je peux plus lire les commentaires. On n'a rien sans rien j'imagine !
J'ai arrêté 20 ans repris 1 an et définitivement arrêté après avoir lu le fameux bouquin de A.Carr (mort depuis d'un cancer du poumon !). Je sais que c'est définitif, je n'en ai plus envie, plus le désir, plus le besoin - je m'en fou. J'ai arrêté pouf, un jour - comme le disait M. Carr, sans patch, sans substitut. En réalité c'est beaucoup plus facile que l'on ne se l'imagine. Pas besoin de volonté, juste savoir que la clope nous enlève plus de liberté qu'elle nous donne de plaisir. (j'en étais à plus de 2 paquets par jour... et nuit)
Bon ben donc pour l'instant quatre volontaires avec moi : Yves et KA (j'ai dit le 14 février, Yves, comme ça on va s'en mettre plein les poumons au prochain paris-carnet !), Vroumette – après tout, elle va faire un tabac aussi dans ses futures tenues 14 ans et LeChieur, qui bien sûr fait son chieur et prétend arrêter avant tout le monde...
Fincasor, dois-je préciser que je vais essayer de moins tricher que toi ? Par contre pour la capacité respiratoire, là je sais que je ne peux plus faire semblant, je le sens avec certitude, même sans faire de gros efforts : elle a baissé.
Valérie de Haute-Savoie, j'ai arrêté trois fois et lu le bouquin d'Allen Carr, le genre « c'est fastoche », ça ne prend pas. C'est difficile, et comme Otir je pense qu'il faut - en tout cas dans mon cas - plutôt se concentrer sur d'autres stimulations.
Ah et pour le thème du blog, je me livre à de petites expérimentations, ce qui explique les apparitions et disparitions. Sinon quand on veut changer l'apparence de la page on se concentre sur la section « Changer l'apparence de cette page » et on choisit celle qu'on aime le mieux !
Ouééé ! Kozlika, Ka, Yves et moi, on va faire un chouette gros tas de poumons tout neufs !
Ah oui, mais j'aimais mieux la photo d'avant, en ce qui concerne Anna Moffo...
Je suis navré de ne pas pouvoir aider : ça fera un an que j'ai arrêté dans pile 98 jours...
M'enfin l'excellente nouvelle c'est que si même moi, "le cas extrême" à tous points de vue j'y suis arrivé, alors n'importe qui peut y arriver. Et sans patches, sans substituts, sans homéopathie, sans acupuncture, sans laser, sans arrêter le café, sans vie saine, sans faire de sport, sans rien. Juste sans clopes.
Juste ne pas allumer une autre cigarette. C'est la seule et unique manière de s'arrêter de fumer. Le reste n'est qu'un gros tas de moyens de tenter de tromper son esprit ;-)
J'ai arrêté une fois, disais-je. La Fée a arrêté quatre fois. LeChieur, il avait arrêté sauf que ça a duré combien ? Trois jours ? Yves, il vient de reprendre.
C'est pas gagné…
Et j'connais quelqu'un qui vient de faire une overdose de chouinegomme à la nico. L'overdose de patch, c'est possible ? C'est bon à mâcher ?
Ka je te confirme qu'une overdose de patch est possible : ça m'est arrivé ! Le chouinegomme a un go horrible et est impossible à macher comme c'est décrit sur le mode d'emploi (du genre à garder 30 minutes en machant une seule fois toutes les 30 secondes... déjà qu'on est stressé) : d'où les overdoses !
Faut pas être malin pour faire une overdose de chouinegommes à la nico, quand même...
C'est vrai que c'est très con, les chouinegommes : on a tendance à les machouiller, alors qu'y faut pas. Mais je le dis et je le répète, le mieux c'est les comprimés Niquitin. On se les carre dans un coin de la bouche, et on fait autre chose en les oubliant, sans trop saliver si possible (la nicotine passe par les muqueuses de la bouche. Le premier jour c'est excessivement dégueulasse, mais on s'habitue dès le deuxième. Effets secondaires : crises de hoquet temporaires).
Et j'ai pas arrêté trois jours, spèce de Ka persifleur, j'ai tenu six mois quand même...
Tiens, je suis bloqué par SpamClear, bouhouhou
Arglllll... m'a tout perdu mon commentaire à moi que j'avais fait de mes petits doigts boudinés.
Bon je disais donc que je prépare ma troisième tentative d'arrêt et que ça peut être intéressant de tenter une expérience commune, pourquoi pas au travers d'un blog.
@Vroumette : dis toi que de mon côté je dois cumuler ET l'arrêt de la cigarette ET la perte de poids. Les deux trucs qui vont super pas ensemble il parait.
Ah ouais... Moi j'ai arrêté y'a 9 mois... Et pris 9 kilos... Une grossesse, en quelque sorte.
Ben moi, ça m'intéresse, mais vous vous y prenez trop tard. Le 1er février, il faudra que j'aille cloper dans ma voiture, seul espace privé, au milieu des batiments et espaces couverts publics qui m'entoureront. Gloups.....
Ouais, cette chasse au fumeur qu'ils nous font, ça donnerait presque envie de reprendre rien que pour protester de notre droit à la liberté de goudronnage pulmonaire !
Fumer, c'est certes mauvais, mais empêcher les gens de fumer de manière coercitive, c'est de l'hygiénisme totalitaire qui rappelle de sombres moments de l'histoire. (Oh ! Un vol en rase-mottes de points Godwin ! Baissons la tête, ils ne nous ont pas vu...)
Swâmi : c'est justement parce que je ne me suis jamais remis de la grossesse de ma femme : 10 kilos en 9 mois.
Bon, ok, le fait que mon précédent arrêt de la cigarette date de la même époque y est peut être aussi pour quelque chose.
J'insiste, j'insiste, veux galérer avec vous!!!
Wé ! pardon Zabelle ! je te compte :)
Dernière cigarette fumée le vendredi 13 décembre 2002. Pas fumé depuis. Sans patch ni aucun substitut. A la volonté pure ! Il faut avoir une bonne raison, sa bonne raison. Et s'y accrocher.
Concernant la question de la volonté, je suis perplexe. J'ai arrêté de fumer le 1er janvier 2004 sans l'avoir prémédité, à la suite d'un réveillon où j'avais trop bu, trop fumé, trop tout... Me réveillant le lendemain avec une gueule de bois et malade, j'ai passé deux jours sans fumer, puis trois et alors je me suis dit "et si j'arrêtais?"
Je fumais depuis 24 ans, et je n'avais jamais arrêté, même hospitalisée (dès que j'avais repris mes esprits j'en avais grillé une depuis le lit où j'étais réduite à l'immobilité, avec un complice qui ouvrait la fenêtre)
Ce n'est pas tant ma volonté qui a été mise en oeuvre qu'une sorte de dissociation : dissocier la cigarette des instants qui lui étaient associés. Le plus dur étant les moments de stress ou de chagrin. A chaque fois, je me disais : tu peux refumer mais ça n'enlevèra pas le fait que Truc est un sale con qui te fait de la peine, que tu n'as pas de nouvelles de Machin. Quand tu auras fini ta clope, le truc sera encore là.
Idem pour les moments heureux et festifs : tu peux fumer mais ça ne te rendra pas plus proche ni moins proche d'Anne ou d'Alain qui fument, ça ne fera pas que tu passeras ou non une meilleure soirée.
Idem pour le café de midi : tu peux fumer mais ça ne rendra pas le café différent, c'est seulement que tu étais habituée à faire les deux en même temps.
Bref, c'est plutôt la répétition névrotique de ce petit raisonnement qui m'a aidée à tenir un jour après l'autre. Et aussi le sucre (bonbons et chocolats, + 3 kgs)
Il se peut que je refume un jour, je ne me sens pas vaccinée contre le tabac, j'ai encore parfois envie de fumer. J'apprécie cependant de ne plus être dépendante (ai-je mes clopes? du feu ? vais-je tenir jusqu'à demain ou vais-je au bureau de tabac maintenant?) et de ne plus me faire racketter (5 euros le paquet).
J'ai aussi remarqué que j'avais toujours envie de parler de ça, de façon un peu obsessionnelle. Comment ça fait et tout... comme quand on est amoureux. C'est vraiment une addiction, oui !
(Si ce commentaire vous semble déplacé, je m'en excuse. Il part pourtant d'un bon sentiment)
Avez-vous eu l'occasion de discuter ou de cotoyer une personne ayant eu un cancer ? Connaissez-vous la réalité d'une chimiothérapie et de ses effets, d'une opération, d'une radiothérapie ?
Certes, un cancer peut avoir plein d'autres origines que le tabac (j'en suis la preuve et je n'ai que 26 ans), mais ne pas (ou plus) fumer, c'est quand même supprimer un risque, non ?
J'ai tenu un blog pendant mon traitement. Si ce témoignage peut aider quelqu'un, j'en serais très heureux.
Je rigole !!!!
Moi, je n'ai jamais commencé!
Franchement, je n'en ai même jamais eu envie.
Bon courage !!!
Merci à Samantdi pour son commentaire dont la perplexité lucide me fait plaisir. Faut dire que j'en ai ras-les-bonbons jusqu'à l'irritation du derme d'entendre parler (plutôt dans la vie de tous les jours qu'ici, d'ailleurs, puisqu'il n'y a que deux commentaires qui en causent) de volonté. Pour l'exprimer exactement comme je le pense, c'est à dire avec des tas de gros mots, les anciens fumeurs donneurs de leçon me font chier, avec leur putain de volonté à la con.
On peut tout faire, avec de la volonté. S'enfoncer des épines dans l'os, se flageller jusqu'au sang, réciter des prières à genoux sur une règle en fer, nager dans l'eau glacée, ou arêter de fumer, ouais, et alors ?
Ce n'est pas parce que certains y arrivent sans substitut que ça fait des autres un gros tas de nazes. C'est juste que dans le domaine des dépendances, on est tous inégaux. C'est injuste, mais c'est comme ça. Pour certains, se débarrasser de la clope n'est pas tellement plus difficile que de cesser de se ronger les ongles. Pour d'autres, c'est une désintoxication presque aussi douloureuse que dans les autres cas de toxicomanie.
Alors le prochain qui vient me causer de sa chouette volonté à tout casser, je l'énuclée avec les dents.
Arrêter de fumer, c'est une séparation. C'est pour ça que c'est complexe, nuancé... la séparation est d'une nature particulière : pour reprendre la relation avec le produit, on n'a pas besoin de son assentiment, "l'autre" est inerte, on n'agit que de soi-même... alors c'est plus facile de reprendre la vie commune que de continuer la séparation. Mais ça ne veut pas dire que ce soit pas possible ou très dur. En fait, c'est curieux : c'est plus dur qu'on ne le pense, mais bien moins qu'on ne se l'imagine.
La volonté joue un rôle -pas qu'elle ok. Elle peut même jouer u nrôle "pervers" et vouloir reprendre. En fait quand on arête de fumer, c'est l'occasion de se rendre compte deplein de chose sur les mécanismes et les mouvelents de l'âme. Je veux, mais quelque chose qui est moi aussi ne veut pas. Il faut que ça veuille y aller de tous côtés. Mais oui, la volonté joue un rôle, puisque nous sommes le seul à décider de la rupture ou de la continuation de la relation. Car quand on reprend, il ne faut pas se cacher que c'est une décision. Peut-être que arrêter de fumer est dur parce que c'est un moment où on est mis en face de soi-même, seul entre soi et soi.
Hello à tous, juste pour dire que je ne fume pas ;o) et puis pour M. LeChieur je vais lui parler de VOLONTE !! j'avais 14 ans, de la volonté, j'en avais déjà tout petit, tu sais. Mais rien à faire, je n'ai jamais, je dis bien JAMAIS, eu assez de volonté pour arriver à fumer. Et tu ne touches pas à mes dents :o)
wé Marcel, mais c'est pas pareil :D : si tu ne fumes pas, tu n'as pas de relation avec le produit, tu as fait le choix préalable de ne pas fumer, et à partir de là basta, tu n'as plus d'autre choix volontaire à faire pour "continuer" ce que tu n'as pas commencé. Mais quand tu fumes, non seulement tu as fait le choix préalable de fumer mais en plus tu fais un nouveau choix : celui de fumer encore ou celui de ne plus fumer.
On s'en rend bien compte quand vient le moment de la dernière cigarette : un peu le paradoxe de Zénon à l'envers...
-> Flo : que nenni !! je n'ai jamais fait le choix de ne pas fumer ! Tu n'imagines pas la honte pour moi qui voulais jouer à l'homme et qui recrachais tout ses poumons à la moindre tentative de fumer dans la cour de récréation. C'est pour ça que je parle de volonté, j'en ai eu pour essayer de fumer comme les grands, j'ai persévéré, insisté, essayé les blondes, les légères, les "à la menthe" rien à faire, mon corps ne pouvait pas ingérer cette substance !!! Donc je persiste et je signe, je parle bien de volonté.
ps) je suis bien content aujourd'hui d'avoir échoué :o)
ha oui, la façon dont tu as ne pas fumé éclaire ton propos Marcel. wé, mais tu n'es pas entré dans la relation, quand même, tu as dragué la cigarette et tu t'es rendu compte que tu ne donnerais pas des années de ta vie à une clope qui décidément n'était pas le genre de ton corps... C'est là que ça change. Parce que quand tu fumes, il y a un corps qui le veut, et celui-là c'est pas facile de discuter avec...
tu as raison, parfois c'est bien d'échouer :)
Bouh, ce bloug a dû arrêter recemment de fumer, il boulotte mon comm à la place.
Je voulais solidariser, en tant que récente échappée des galères ("je m'souviens, ma mère m'disait..." air connu), dire à Mr Le chieur que oui,il a raison de pas se laisser brouiller l'écoute par ceux qui ne mesurent pas à quel point c'est une dope. En sortir sollicite parfois durement la volonté, et Samantdi décrit finement le processus de dissociation entre son cerveau raisonnable et son cerveau dépendant qui luia permis de passer les étapes.
Je me souviens avoir préferé les gommes aux patch, parce que sentir arriver les effets du manque était justement ce dont j'avais besoin comme motivation.
Faut juste trouver chacun son point de halage.
Mes seules addictions étant liées aux livres, j'ai moins que jamais l'intention d'arrêter, c'est (presque) tout ce qui me reste. Je ne peux donc même pas m'inscrire comme Vroumette dont la présence parmi la liste m'avait dans un premier temps assez surprise (sur le mode, Ah bon ? elle fume ?):-)
Je suis entièrement d'accord avec Samantdi : La "volonté" n'a strictement rien à voir avec le fait d'arrêter de fumer. Ceux qui y parviennent n'ont pas à se glorifier de leur prétendue volonté, pas plus que ceux qui n'y arrivent pas n'ont à se flageller d'une soi-disant absence de volonté. La volonté telle qu'on la conçoit couramment est une pure illusion.
Samantdi a également entièrement raison quand elle parle de l'importance de la dissociation. Ce qui est important, c'est de se dissocier de la cigarette, de rompre ce mariage, de cesser cette identification, l'identification de la cigarette à "moi", de "moi" à elle, résoudre l'angoisse de son manque - ce que permet la dissociation - et parvenir à ne plus la voir comme une solution quelconque, une consolation quelconque, ni même un efficace substitut.
Une fois que ces liens sont tranchés (au moins pour l'essentiel), on n'a besoin ni de volonté ni de patches, pour arrêter.
Mais le plus dur n'est pas d'arrêter ; le plus dur est de résister aux sollicitations du petit démon qui nous pousse à reprendre et ne rate aucun instant de faiblesse pour essayer, par surprise, de pousser son avantage jusqu'au tabac du coin de la rue...
Si tu veux, je te donnes un coup de main...
tout pareil que Samntdi, il y a eu un moment où j'ai eu envie de vivre sans. Volonté...bof...un gros coup de bol, une bonne conjoncture, substitution d'une addiction par une autre (j'ai arrêté de fumer mais je traîne sur les blogs....)
Si quand même la volonté (mais au sens premier du terme, cad vouloir quelque chose, pas en chier nécessairement, on n'a qu'une vie) de ne pas fumer : cad se rappeler que l'on ne VEUT plus fumer. Mais c'est possible qu'on n'y arrive pas. il faut se dire que c'est momentané et que le lendemain, le patch est toujours là. Je me suis toujours dit : si je craque tant pis, je recommence demain (le patch pas la clope)
C'est déjà assez dur comme ça, il ne faut pas se rajouter des pressions en plus.
Allez c'est possible : il faut juste arrêter......
(aïe non pas la tête)
Bien sûr qu'il n'est absolument pas question de volonté ! Rien que le concept, appliqué au champ de la décision (d'arrêter ou pas) est creux et vide de tout sens.
Ou plutôt, il en prend un, comme le fait justement remarquer M. LeChieur, celui du jugement de valeur, porté par celui ou celle qui soit assène "il suffit de", ou bien par celui ou celle qui entend "il suffit de pff donc tu es ... nul/le, super/ rayer les mentions inutiles).
Bref, c'est un concept nuisible, et qui n'a rien à voir avec ce dont il est question ici, qui est tout de même sérieux, et c'est vrai qu'Yaducontre, comme dans toute décision qui remet en cause bien plus qu'un simple "fait" de fumer ou ne pas fumer.
J'ai bien peur de m'étendre au delà des limites raisonnables à un commentaire (quand on n'est pas chez soi, et qu'on commence à s'installer comme ça, j'ai tous mes démons qui ressortent, et j'ai peur qu'on me regarde de travers), mais je crois l'avoir déjà dit, ici ou ailleurs, j'ai arrêté de fumer - le 4 août 1986 - et j'ai toujours considéré que cela avait été parmi les quelques accomplissements dont j'étais la plus fière.
Tout comme d'autres, je me considère comme une "ancienne fumeuse", même si la plupart des gens que je fréquente (pensez plus de vingt ans plus tard) n'imagineraient même pas que j'ai pu être la clope au bec avec volupté, si ce n'étaient les nombreux clichés que j'ai de moi avec cet appendice.
Que ce titre d'ancienne fumeuse donne une quelconque validité supplémentaire à mon point de vue, je n'en sais absolument rien, et ne le prétendrais pas. Disons que je ne me rangerai jamais derrière la bannière des "volontaristes" qu'ils soient anciens fumeurs "repentis" (parce que c'est à ça que la formule "volonté d'arrêter et basta" me fait penser), ou n'aient jamais été intoxiqués tabagiques et ne comprennent donc pas comment on puisse se "faire avoir" par quelque chose qui vu de l'extérieur est somme toute si "anodin", comme une "mauvaise habitude".
La volonté n'a rien à voir. La prise de décision est un facteur important, et à elle seule n'est ni garante d'un succès, ni prédictrice d'un échec à plus ou moins long terme. Elle est à saluer - à encourager de mon point de vue, mais ça aussi, ça se discute peut-être - et à protéger.
Protéger, c'est à dire que celui ou celle qui prend la décision d'arrêter de fumer doit savoir trouver ses soutiens, et reconnaître où se nicheront ses embûches. Car il ne faut pas l'ignorer, il y aura autant de détracteurs et d'empêcheurs d'arrêter de fumer, là où jamais on ne les aurait attendus, qui se lèveront en face pour saper les tentatives. Parfois intérieures, mais aussi malheureusement on pourrait le dire, extérieures.
Ceux qui parlent de volonté, d'ailleurs, étonnamment en font le plus souvent partie, comme s'il leur était échu la mission de "tester cette volonté" pour se prouver à eux-mêmes quelque chose d'absurde, à savoir qu'eux en ont, et pas les autres...
Or, il s'agit d'une aventure personnelle, d'une course en solitaire, qui peut être de toutes natures possibles, certains auront à faire le tour du monde et passer des caps dangereux, d'autres arriveront à bon port après avoir traversé la Manche à son point le plus étroit, il n'y a pas d'indicateur au départ.
C'est pour ça, pour moi, que je dis que ça se prépare, qu'on s'équipe, qu'on n'est pas tout seul, qu'on est soutenu, sponsorisé, encouragé, et secouru en cas d'accident.
Et moi, je suis prête à apporter mon concours, sous quelque forme qu'il soit nécessaire.
@Koz : dans du 14 ans !!!! Euh, je ne suis plus rentrée dans cette taille depuis mes.... depuis mes 10 ans j'crois bien. Et comme j'ai pris 10 kilos en un an (le coup de la tisane+ granolas durant mes révisions a été mortel) + 20 en trop avant, tu ne m'en voudras pas si j'ai fixé la barre un peu moins haut.
@Aymaric Jacquet : procède par ordre ! ca me parait difficile de se mettre au régime tout en arrêtant de fumer. Essaie la phase 1 : j'arrête de fumer en limitant les dégâts, et une fois que ce n'est plus une torture, hop, phase 2 : attention à la bouffe. Heureusement que je n'ai à me concentrer QUE sur la bouffe, j'ai 30 kilos à perdre, j'ai donc un bon programme devant moi (pour un bon bout de temps).
@Swâmi :une grossesse de 9 kilos, pffffffffff ptit joueur ! 28 pour mon deuxième, yahaaaaaaa.
@François : je te reconnais bien là. Toujours prêt à aider !
Bon, c'est super tout ça. Je ne sais pas trop comment aborder le machin, vu que ce n'est pas ma première tentative. Je sais – ou crois savoir en tout cas – que ma dépendance physique n'est que le petit bout de la lorgnette, le truc qui se combat farouchement mais finalement facilement quand on est en plein dans la bataille (les quinze premiers jours en gros). Le plus dur c'est après : c'est pas d'arrêter, c'est de ne pas reprendre.
Ne plus fumer celle de quand on se jette enfin dans son fauteuil. Ne plus fumer quand on vient de finir un ouvrage ou une discussion un peu ardue. Ne plus fumer quand on parvient au terme d'un trajet. Ne plus fumer avant d'attaquer une chose difficile ou qu'on prévoit compliquée.
Bref, ne plus avoir de signes de ponctuation. Ce sont toujours ces cigarettes-là qui m'ont coulée. Vous savez comment j'ai repris la dernière fois ? En « fêtant » mon centième jour sans tabac : punaise de purée de nandedieu, ça mérite bien une tite clope !
;)
@Kozlika : Ha ha ! A lire ça, je me dis que tu es vraiment comme moi, la fée, et c'est un homme qui a du fumer (rapide calcul) environ 395.000 cigarettes (soit l'équivalent du prix de plusieurs Porsche neuves) qui te le dit. On sait de quoi on cause.
Bah, tu finis par arrêter le jour où tu hais suffisamment la cigarette, le jour où tu te hais suffisamment en fumeur/fumeuse et depuis assez longtemps, le jour où tu hais suffisamment ton esclavage reconnu, le jour où tu es suffisamment pénétré(e) de l'évidence : Si je continue, j'en crève, et c'est pour bientôt, et ça va pas être joli avant.
Là, un jour ou l'autre, tu finis par arrêter. Ca se fait tout seul. Ou pas, mais c'est parce que tu as finalement choisi le suicide.
J'ai fait mes premières modestes tentatives pour réduire ma consommation de clopes en 1987, je pense... Ca ne marche jamais, chez un "vrai" fumeur. J'ai arrêté en 2004, 3 mois, et en avril 2006, jusqu'à présent et cette fois, j'ai bien l'impression que .
Auparavant, une tentative héroïque avait tenu 5 jours, sinon, jamais plus de 2 heures :-}
Et la seule aide que puisse t'apporter autrui en de telles circonstances, c'est de ne pas te faire chier - l'expérience m'a montré que c'est généralement exactement les périodes que choisissent les autruis pour te faire chier. Conjoints compris et au premier rangs, immédiatement suivis de patrons, collègues et amis...
Tu veux dire : ceux qui ricannent quand tu leur dis que tu vas arrêter (ou que tu as arrêté) ?
Wé, tous des saligauds.
Oh, l'imagination de l'entourage pour faire chier quelqu'un qui vient de s'arrêter de fumer est sans limites... Jusqu'à faire ton procès façon Khmers rouges et exiger ton autocritique stalinienne... Attendre que quelques mois aient passé et que tu te méfies moins pour bien te prendre la tête, histoire que tu te rues à l'extérieur prendre l'air et fumer le paquet en deux heures, toutes ces sortes de choses...
Mais au moins, si tu résistes à ça, tu sais que tu as vraiment arrêté...
J'avais eu des rechutes comme ça (c'était avant cette année 86 dont je parlais plus haut). Lors de cette dernière tentative, donc, je m'étais fait le serment (à moi-même), de ne plus ACHETER de cigarette. Si je voulais en griller une sans violer mon serment, il fallait que je demande à quelqu'un de m'acheter des cigarettes (taper une cigarette à quelqu'un voulait déjà dire que j'étais en situation d'être avec quelqu'un qui fumait, et ce n'était déjà plus la situation où je "décidais" de fêter tel ou tel évènement ou circonstance en "m'offrant" une cigarette).
Bref, ceci n'est qu'un exemple des mille et un trucs qu'il va te falloir inventer pour toi-même, pour effectivement couvrir toutes les situations possibles.
Oserais-je te recommander d'avoir un journal à plusieurs entrées, une page pour chacune des diverses stratégies et circonstances qui vont entrer en ligne de compte ? On peut t'aider à brain-stormer les différentes entrées, certaines resteront peut-être vides, mais ça ne t'aura rien coûté de les avoir envisagées.
J'avais fait un cahier comme ça. Si je le retrouve (pas sûr), je te donnerai volontiers l'exemple des entrées que j'avais trouvées nécessaires et utiles.
En fait la question serait : est ce que les anciens fumeurs et les non fumeurs peuvent s'inscrire au club pour fournir leur quota de coup de main, coup de pouce, coup de coeur et cou bleu, pour soutenir cette bénéfique entreprise?
(Parce qu'aucun cou pas bleu dans cette histoire, bien sûr)
En fait la question serait : est ce que les anciens fumeurs et les non fumeurs peuvent s'inscrire au club pour fournir leur quota de coup de main, coup de pouce, coup de coeur et cou bleu, pour soutenir cette bénéfique entreprise?
(Parce qu'aucun cou pas bleu dans cette histoire, bien sûr)
Par exemple, tu peux "fixer la règle" que l'on n'a pas "le droit" de s'en griller une tant qu'on n'a pas posté son intention de le faire sur On va faire un tabac et que l'intégralité des participants à l'opération n'a pas réagi. Si aucun commentaire n'est posté dans les six heures qui suivent le post, etc, etc.
scrogneugneu pourquoi j'ai beau cocher "se souvenir de moi", il me laisse toujours en blanc ce formulaire, m'ineeerve ! ah ça c'est un truc aussi.. savoir repérer toutes les sources "secondaires" d'énervement mineur et frustrant, ce sont des déclancheurs de ces fameuses endorphines grandeur grand e !
Anita : personnellement je pense qu'il faut laisser aux "quitteurs" les manettes. On aura toujours les commentaires pour intervenir !
Bah, il n'y a pas de "stratégie" et il n'y a pas de "règles", ou plutôt il n'y en a qu'une (et tout le reste est rigolade) : Pour cesser de fumer, il ne faut pas allumer une cigarette. Point.
Swâmi Petaramesh : je comprends ce que tu veux dire, mais il n'empêche que je décrirais cela comme "yakafokon", et si tu veux renommer les stratégies et règles en propositions de "comment faire pour" ne pas allumer une cigarette, peut-être que tu verras cela d'un autre oeil.
Et de toutes manières, si tu ne le vois pas d'un autre oeil, peut-être d'autres seront preneurs.
@Otir :
Quand le fruit est mûr, il tombe. Je ne vois pas vraiment autre chose...
Uh uh, je réalise : tiens pour un peu on serait à J-46 !
Bon, je reviens mais pas pour parler de ma volonté. Exemple vécu : mon père à l'époque (73 ans) fumait depuis l'âge de 14 ans de la gauloise bien brune qui jaunit les doigts et les ongles. De plus, il se payait le luxe d'avoir de l'asthme. Ce soir de Noël, je ne sais pas ce qu'il m'a pris, mais à l'entendre tousser, cracher sans arrêt en allumant sa cigarette, je lui dit au mot près la phrase suivante : "C'est ça, allume toi ta clope tu tousseras moins, et ne compte pas sur moi pour faire des AR 130 km pour te voir sur ton lit d'hopital en train de crever" Silence. Il a posé sa cigarette et n'a jamais refumé depuis. Ca fait 4 ans maintenant. Sûrement plus de la trouille que de la volonté, ou une prise de conscience subite, je n'en sais rien. Je raconte ça juste comme témoignage. C'est certain que la parole d'un fils excédé est plus porteuse qu'un "fumer tue" imprimé sur un paquet de cigarettes.
Allez hop, j'm'en va narrer à mon tour ma p'tite expérience en deux temps :
1. Mon ex-femme tombe enceinte, crac ! je m'arrête de cloper. Six mois d'enfer total. Je reprends au bout de deux ans et demi, avec ces petites clopes "exceptionnelles", vous savez, celles qu'on s'autorise parce qu'on est entre potes, qu'on a bien bouffé et qu'on passe une bonne soirée. En trois mois la partie était jouée, je refumais comme un sapeur. Fin du premier acte.
2. Il y a quelques jours à peine, avec des potes, autour d'une galette des rois (encore une fois j'ai eu la fève, zutre !). Nous sommes quatre (oui, vous trois qui vous reconnaissez en lisant ces lignes, c'est de vous que j'koze !), on tire à donf sur nos clopiots, ça bombarde comme à Dresde, c'est irrespirable. En plus, je sens la gastro qui pointe le bout de son nez. Envie de vomir, insupportable. J'me dis : c'est le bon moment, la p'tite maladie à la mode va t'empêcher de fumer pendant deux ou trois jours, et après t'arrête.
Bein tien, crois-le. J'ai repris. Fin du deuxième acte.
Alors la proposition de Koz, je saute dessus et j'vais essayer de m'y tenir. En plus que j'en connais une à qui ça ferait bien plaisir, que j'arrête…
Où l'on apprend grâce à KA que les rois mages tiraient les rois en plus que leurs clopiots.
(ça s'arrange pas, je sais).
PS : Kozlika, si tu arrêtes, et si jamais par malheur plus tard tu arrêtes d'arrêter et que je t'engueulote, tu seras pas fâchée, dis (s'il te plaît).
Je le dis à tous : ce Ka est le dernier dépositaire du vrai flegme anglais. Croyez-vous qu'il nous le dit, qu'il avait envie de vomir sa frangipane ? Nenni. Ignorant la nausée, refusant de capituler devant le virus, il demanda même à voir le stock de feutres de Meusa pour me faire une dédicace qui ne trahit en rien son trouble gastrique. Chapeau bas.
M. LeChieur : la prochaine fois je lâche tout sur la dédicace, avec des vrais morceaux de flegme anglais dedans.
J'en connais un qui a renoncé à s'arrêter et avec qui on ne discute pas le sujet sous peine de dispute...;-))
Moi j'ai arrêté ya un peu plus de deux ans le jour de mon anniversaire, sans rien, juste que j'en avais assez d'être accro, le bon moment quoi...bises
Il semble que certains ont déjà dans l'idée d'arrêter d'arrêter. Pour vous aider à ne pas commettre cette erreur, nous vous proposons notre "Assurance Garantie Sans Reprise".
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Si on peut donner le nom de la personne qui nous est "chère", certains vont prendre un malin plaisir à rechuter…
Tiens, je n'ai pas racheté de paquet ...
Savez-vous si on peut vivre sans addiction ( les TOC sont compris dans le lot ) , si la réponse est non et si vous n'avez aucune autre addiction vous perdez votre temps.
Euhh, juste comme ça, on peut inclure le café dans l'opération?
Parce que, hein, voila quoi.
Mais Kozlika si tu veux faire du vélo (et que je te prête le mien comme prévu) il va te falloir du souffle hein ? Alors...
KA : ben non justement, c'est prévu. Le choix du bénéficiaire est à notre charge (et peut changer dans le temps, notamment si le précédent n'est plus heuuuu "utilisable").
Nuits de chine : Moi je signerais bien ce contrat avec l'option "je choisis l'être cher qui va morfler si je m'en grille une à nouveau".
Pasque faire faire le sale boulot par d'autres tout en assistant au pestacle avec une roulée main calée au coin du bec est un petit plaisir qui vaut son pesant d'herbe à Nicot.
KA : Nan, nous ne faisons pas ça. Mais si tu veux, je peux te présenter quelques siciliens ou d'autres russes.
Commencer à fumer, c'est une histoire de vo-lon-té (un sketch plutot "yaducontre, saison 1").
Oué, Fûûlion m'a montré ça il y a quelques jours :)
Aarrgllll, mais mais.. le 14... c'est dans une semaine ça!
Bon un paquet de tabac à rouler ça dure une semaine, ça tombe bien pfiuuu...
Ah ui tiens, demain il faut que je m'occupe de mettre le blog en route et ouvrir les inscriptions.
Tiens, tu ne voudrais pas centraliser les inscriptions d'ailleurs ? Je délèguerais bien quelques tâches moi :-P
Pourquoi pas ?
Tu me créés un compte admin pour que je gère les inscriptions des rédacteurs ?
Donc pour les gentils "arrêteurs de fumer en rond", envoyez-moi vos noms, prénoms, pseudos et mots de passe désirés à : ajacquet AT ajcrea.com.
Ainsi que vos préférence en matière d'édition (html ou wiki) si vous voulez.
Et je créé les comptes dés que Kozlika est opérationnelle.