« La poésie, c’est l’impensable. Mais il faut bien passer par les mots. Un poème de Fabienne Courtade est comme une échappée, une trouée de lumière dans un ciel lourd de nuages. Et ce qui est imprimé, c’est le ciel inversé de la page, noire d’écriture, dont paroles et images s’annuleraient pour atteindre à sa blancheur seconde. »

Dominique Grandmont, La poésie c'est l'impensable, L'Humanité, 11 septembre 1998.

Le 22 mai, Fabienne Courtade et Sylvie Gouttebarron liront quelques-uns de leurs poèmes à l'occasion de la parution du numéro 9 de Rehaut, une revue d'art et de littérature.

J'ai déjà dit l'admiration que je porte à Fabienne Courtade. Je serai bien sûr à cette lecture le mardi 22 mai à 19 heures, galerie Jacques Levy, 62 rue Charlot, à Paris (3e). J'espère y croiser quelques-uns d'entre vous.