Nuit blanche cette nuit. Au lieu de compter les moutons, j’ai compté des pages.

S’il y a un jour un PDF réunissant les textes publiés pour l’Auberge des blogueurs, il promet d’être épais. Vraiment. 865 textes publiés. Si l’on tient compte des textes des deux personnages dont les autrices ne souhaitent pas qu’ils y figurent et celui que nous ne souhaitons pas qu’il y figure, ça fait 800 à la louche.

Quelques textes tiendront sur une seule page. La plupart s’étaleront sur deux ou trois pages, quelques-uns, en nombre non négligeable, iront jusqu’à 6 ou 7. Comptons trois en moyenne — hypothèse basse —, soit 2400 pages, plus les pages annexes (couverture, menus, règles du jeu, générique de fin, etc.), disons 2500. En imprimant recto-verso ça fait 1250 feuillets, soit deux ramettes et demie.

Imagine, tu veux emporter ça pour lire à la plage ? Il serait alors raisonnable de faire des tomes. Un par mois ça fait tout de même à peu près 420 feuillets par tome, c’est déjà trop. Ou alors un par semaine, 90 feuillets environ ? Pauvres arbres et bonjour le supplément bagages… En même temps© ça peut faire assez chic dans votre bibliothèque, à vous de voir.

Je conseille cependant d’ores et déjà aux futurs téléchargeureuses d’en rester à une lecture numérique, sur tablette ou sur liseuse s’il y a une version e-pub. Ne me remerciez pas (ça ne m’a même pas aidée à m’endormir, j’vous jure…)


Participation à Iwak.