Kozeries en dilettante

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Mot-clé - spectacles

Fil des billets

Récital Dessay-Villazon : c'est pas encore ce coup-là que je vais arrêter d'être fan (1)

Ella, elle l'a Ce je ne sais quoi Que d'autres n'ont pas Qui nous met dans un drôle d'état Ella, elle l'a Ella, elle l'a Cette drôle de voix Cette drôle de joie Ce don du ciel Qui la rend belle Ella, elle l'a Ella, elle l'a (France Gall, « Ella, elle l'a ») Qu'Ella la grande me pardonne de voler un  […]

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Et les deux autres, tout le monde s'en fout ?

Je ne sais pas si j'irai voir ''Rigoletto'' avec la même bande de sans-cœur que ceux avec lesquels je suis allée hier écouter L'Amour des trois oranges. Ça va être difficile, il va falloir que je prenne sur moi. Je vous explique (attention, spoiler ci-dessous, ne cliquez pas sur Lire la suite si vous devez aller voir le spectacle).

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Attention, hagiographie assumée

Pas si facile de faire un compte rendu du récital de Natalie Dessay. Les lecteurs habituels de ce blog ne s'attendent à rien d'autre qu'un déluge de compliments à l'adresse de l'Icône de la maîtresse de maison et se disent in petto que quoi que la dame ait chanté en ce jeudi 7 juillet au Théâtre des Champs-Elysées, la Koz s'extasiera et vous rebattra les oreilles d'un billet hagiographique.

J'aimerais vous surprendre aujourd'hui...

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Z'avez de la chance

Fûûlion ne pourra pas m'accompagner au récital de Natalie Dessay, jeudi 7 juillet à 20 heures au théâtre des Champs-Elysées (Verdi, Bellini, Donizetti, Rossini). La place est à qui veut...

Britten - Le Tour d'écrou

A quoi reconnaît-on une authentique feignasse à votre avis ? A ce qu'elle attend patiemment que ses petits camarades fassent le boulot. Voilà qui est fait : Bladsurb livre son compte-rendu du Tour d'écrou que nous sommes allés voir ensemble hier soir et comme je suis en tous points d'accord avec lui et qu'il dit ça très bien, z'avez qu'à aller lire chez lui. J'ajouterai pour ma part...

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Merci Pina Glück

On l'aime alors on tremble : et si on était déçue comme le fut Bladsurb avec Barbe Bleue ? Et si le p'tit gars formidable qui vous accompagne pour sa première incursion à l'opéra, alléché par le seul nom de Pina Bausch à laquelle il voue une admiration sans bornes, était déçu ? Et si la sortie programmée depuis de longs mois pour fêter par une sortie à deux le retour de Loin-là-Bas était malvenue, avec le luxe ostentatoire des ors de Garnier après les égouts à ciel ouvert et le riz qu'on mesure avec parcimonie ? Et si on s'ennuyait, malgré la distribution, malgré Pina, parce qu'on est pas fan de baroque ?

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