3/366 Sonnerie
Par Kozlika le samedi 18 février 2012, 23:12 - Lien permanent
Cela fait des années que je n’ai plus besoin d’un réveil-matin. J’ouvre les yeux spontanément entre six et sept heures, huit heures les fastes jours de très grasse matinée, même en vacances. Ainsi fut-il hier matin et ce matin. Mes compagnons de voyage n’étant pas forcément aussi mal programmés, surtout le plus jeune, et leur sommeil sacré, je tournai en rond dans le noir de la chambre d’hôtel aux rideaux soigneusement tirés en attendant leur éveil pour aller déjeuner avec eux. Pour une çonnerie…
Commentaires
J’ai sitôt lancé le skype qu’il sonne. J’ai sitôt commencé à me réjouir qu’il faut que j’aille éteindre le four qui sonne à son tour. J’ai sitôt fermé l’oeil pour une fois à l’heure dite que l’alarme de la pile qui rend l’âme dans le détecteur de fumée se met à bipper.
Je remarque qu’avec le temps mon réveil est de plus en plus programmé dans ma tête, mais heureusement quand il n’est pas l’heure, je sais replonger dans les limbes du sommeil…
Allez Otir met toi y sur ton blogue ;-)
Otir, voilà qui pourrait te permettre de jouer sans t’engager : faire la « tournée des popotes » en laissant un commentaire trois cent soixante-sixien !
Gilsoub, je t’envie ! Me réveiller tard est déjà exceptionnel mais me rendormir ça arrive une fois par année bissextile, et encore à condition que le 29 février tombe un dimanche ;-)
Ah bin oui mais non, moi tous les matins je m’extirpe péniblement.
Même tout seul (rarement), les matins s’étendent en langueurs insecouables.
Autant je me lève au quart de tour en pleine nuit pour les petits, autant le matin m’est un déchirement (de draps).