Cela fait des années que je n’ai plus besoin d’un réveil-matin. J’ouvre les yeux spontanément entre six et sept heures, huit heures les fastes jours de très grasse matinée, même en vacances. Ainsi fut-il hier matin et ce matin. Mes compagnons de voyage n’étant pas forcément aussi mal programmés, surtout le plus jeune, et leur sommeil sacré, je tournai en rond dans le noir de la chambre d’hôtel aux rideaux soigneusement tirés en attendant leur éveil pour aller déjeuner avec eux. Pour une çonnerie…