(Ce récit fait suite aux Histoires de la tante barrée, )
La fin de la Grande Guerre n’avait laissé à Célestine qu’un petit frère, après le décès de son père puis de l’un de ses frères au front et la maladie qui avait emporté sa mère. Adrien se maria deux ans après Célestine avec une charmante jeune couturière. Gaie, enthousiaste, membre d’une fratrie qui ne comptait pas moins de neuf frères et soeurs, Louise fascinait Célestine qui lui enviait son aplomb et son aisance.