Oh la la…
Par Kozlika le mardi 5 janvier 2016, 21:37 - Lien permanent
L’exercice va donc parfois se révéler difficile. Migraine cette nuit, ceux qui connaissent le bonheur de la migraine qui réveille à 3 heures du mat me comprendront…
À défaut de pouvoir ranger ça au rayon des bonheurs, je note tout de même avec satisfaction que je peux désormais identifier quelques heures avant la survenue d’une crise. Celles-ci se déclenchent quasiment systématiquement au milieu de la nuit et je note qu’à chaque fois ce sont des soirs où j’ai beaucoup de mal à m’endormir, même si je suis très fatiguée, un peu comme si j’avais bu du café. Il faudra que j’en parle à ma toubib, il y a peut-être une piste de traitement de prévention à explorer ?
J’ai utilisé cette nuit le dernier exemplaire du médicament réellement efficace à effet relativement rapide (une vingtaine de minutes) qui restait[1] ; j’ai dû pour cela réveiller le gars qui m’a à la bonne car je savais qu’il en détenait un à titre de secours. Le pauvre n’a pas réussi à se rendormir après. Nous sommes donc, appelons ça du bonheur, complètement raccord sur notre mode zombie.
Offrons-nous donc le petit bonheur de regarder un épisode de Manhattan en attendant une nuit qui sera je l’espère réparatrice ! Cette série n’a rien d’exceptionnel mais elle sera parfaite pour notre niveau d’hébétude.
À demain les gens !
Note
[1] Pour des raisons mystérieuses – probablement de rentabilité – le laboratoire en arrête la production, je suis désespérée, aucun autre testé jusqu’ici ne fonctionne aussi bien :-/
Commentaires
Personne n’avait dit que ça serait facile. Merci de partager quand même avec nous.
Aïe, tu as toute ma sollicitude !
Que la journée te soit aussi douce que possible, du coup, avant le doux atterrissage de ce soir <3
J’ai arrêté ces trucs hyper mystérieux, j’ai fini par avoir l’impression que la nausée qui accompagne souvent la migraine était amplifiée.
Maintenant, remède de grand-mère confié par une pharmacienne un jour où j’étais sans Zomig et sans ordonnance : Ibuprofène et paracétamol, en alternance toutes les deux heures, l’un puis l’autre. Ça ne fait pas toujours le boulot, mais de temps en temps ça soulage. Je continue à perdre les phrases et les mots, tu connais forcément, à ce que j’en lis (<q>ceux qui connaissent le bonheur de la migraine qui réveille à 3 heures du mat me comprendront…</q>), et je deviens un peu dingue. La seule chose qui me fait tenir pour éviter la folie c’est de savoir qu’au plus long, ça a toujours duré trois jours.
Bref, l’espoir nous sauve. C’est du bonheur, après. :)
Stéphane, le Zomig n’est pas du tout aussi efficace ni aussi rapide que le médicament que j’utilisais auparavant (Immigrane en solution nasale) ; en outre il est tout aussi efficace au milieu d’une crise qu’au début alors que la plupart des autres traitements doivent être pris très tôt. D’où ma déception. Mais un copain a une copine pharmacienne qui a très gentiment enquêté et obtenu une boîte qui va bien me dépanner, merci Gilsoub !
L’association paracétamol et ibuprofène oui, c’est ce que je fais aussi… Plus l’Immigrane quand la crise est forte ou que ça dure depuis trop longtemps (couramment trois jours moi aussi désormais)…
Content qu’elle ai pu t’avoir au moins une boite !