C’est quand même l’un des trucs les plus chouettes du monde – en tout cas je ne m’en lasse pas – que de retrouver les copains. Dans mes années scolaires, déjà, lorsqu’on me demandait ce que je préférais à l’école (ou collège ou lycée), ma première réponse ne concernait pas une matière mais « retrouver les copains ». J’ai conservé ce sentiment comme un moteur déterminant qui soit dit en passant m’aide à combattre ma tendance naturelle à la très grosse flemme. Le seul retrouver-les-copains qui n’ait pas été assez puissant pour le moment, c’est celui qui me ferait prendre l’avion pour Nouméa ou Montréal…

J’ai déjà dit qu’à bien y réfléchir j’étais prête à m’engager corps et âme dans la gestion d’un lavomatic et croyez bien que ça n’est pas qu’une blague. J’éprouve une joie d’enfant à préparer la surprise que Franck et moi sommes en train de mitonner pour les copains de Dotclear – non ça ne se mange pas –, de commencer à organiser la colo du printemps, de retrouver dans mon fil RSS des amis qui avaient plus ou moins arrêté de bloguer, bien que certains soient plus contrariants que d’autres. Et retrouver les copains, ça peut même se passer de façon indirecte : je me réjouis par exemple quand je sais le couvepenty occupé.

Retrouver les copains, c’est moult bien !